Pourquoi ce blog et comment le lire ?

Cette page, qui n'a pas la prétention d'être exhaustive, est un hommage rendu aux hommes du 36e régiment d'infanterie que mon arrière-grand-père, Fernand Le Bailly, a côtoyés, parfois photographiés pendant la Première Guerre mondiale. Elle souhaite conserver et transmettre leur souvenir. Elle est conçue à partir de témoignages, d'écrits et d'archives personnels qui m'ont été envoyés, en partie par des descendants de soldats du 36e. Elle est aussi un prétexte pour aller à la rencontre d'"invités" – historiens, passionnés de la Grande Guerre, élus, écrivains... – qui nous font redécouvrir aujourd'hui ce titanesque conflit. Elle est enfin un argument pour découvrir tous les prolongements de ce gigantesque conflit dans le monde d'aujourd'hui.
Comment consulter cette page ? Vous pouvez lire progressivement les messages, qui ne respectent pas un ordre chronologique (ils évoquent, par exemple, l'année 1915 ou 1914). Vous pouvez aussi avoir envie de vous attarder sur une année ou un secteur géographique : pour cela, cliquez dans la colonne à gauche dans la rubrique "Pages d'histoire du 36e" sur la période et le lieu qui vous intéressent. Tous les messages seront alors rassemblés pour vous selon l'ordre de publication.
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15 janv. 2010

Le flâneur du 36e : l'apparat fait le patrimoine

Vincent Majewski nous envoie la photo de l'uniforme du 36e du lieutenant-colonel Charles François Marie Ogier de Baulny. Né à Coulommiers le 5 août 1867, le jeune homme fut élève à Saint-Cyr (promotion de Chalons, de 1886 à 1888). Après son passage au régiment de Caen, il sera versé au 317e, caserné au Mans. Il trouvera la mort le 26 septembre 1914, avec d'autres officiers supérieurs, devant Roye, dans la Somme, sous un bombardement, alors qu'il observait l'ennemi derrière une meule de paille (lire un récit de cette mort ici et ). Son corps sera inhumé deux jours plus tard dans le village de Laucourt, où il repose toujours. Merci à M. Majewski pour sa photo.

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